Jack’s Camp Makgadikgadi a été créé par le légendaire personnage Jack Bousfield, l’un des grands explorateurs et aventuriers du continent. Il n’y a que dix tentes et ce camp très exclusif est l’un des deux seuls camps permanents de la Makgadikgadi au Botswana.

Jacks Camp est situé au Botswana, à Makgadikgadi Pans qui est l’un des plus grands marais salants de la terre. Le lointain Makgadikgadi Pans se trouve sur le côté sud-est du delta de l’Okavango et entoure le désert du Kalahari.
Lors d’une expédition dans les Makgadikgadi dans les années 1960, Jack Bousfield est tombé sur un site qui a tellement captivé son imagination qu’il s’est installé sous un acacia avec l’inébranlable espoir que les autres ressentiraient la même chose. Vestige de l’un des plus grands lacs du monde, le Makgadikgadi s’est asséché il y a des milliers d’années en raison du déplacement continu de l’écorce terrestre.

Créé dans les années 60 par Jack Bousfield, un passionné de la brousse, Jack’s Camp a été entièrement rénové pour devenir un lodge exclusif à l’ambiance “Out of Africa”.
Situé dans le nord du Magkadikgadi Pan, dans cette région de marais salants jadis verdoyante et désormais désertique, Jack’s Camp propose dix tentes de grand confort et une expérience inoubliable. Véritable oasis de civilisation dans un environnement particulièrement rude, le camp, conçu dans un souci d’authenticité et d’élé ance, apparaît comme une réminiscence des safaris du début du XXème siècle : oreillers de plume, draps immaculés, meubles de bois précieux et tapis persans créent une ambiance unique et mémorable.

Les tentes sont placées de manière à offrir un maximum d’intimité et une vue parfaite à travers les palmiers et les acacias, bien qu’un certain nombre d’entre elles soient situées plus près les unes des autres et conviennent parfaitement aux familles. Les salles de bains qui offrent le confort de l’eau chaude particulièrement apprécié en safari, sont équipées de douches intérieures et extérieures.

Le camp est situé sur une petite colline avec une vue imprenable sur les prairies vallonnées d’un côté et les marais salants de l’autre. La piscine couverte d’une élégante tente est l’endroit idéal pour profiter de la vue sur la région et garder un œil sur la petite mare devant le camp. Le point d’eau est régulièrement visité par tous les animaux et oiseaux dans cette région souvent pauvre en eau.
Les repas sont servis dans la tente centrale du mess, un vrai musée, où les chefs font des merveilles pour préparer de délicieux petits déjeuners, des déjeuners légers et des dîners trois services. Jack’s propose également une cave récemment remaniée, qui présente une sélection de vins sud-africains délicieux.
C’est l’un des camps les plus originaux et les plus excitants d’Afrique, situé dans une région vraiment fascinante. Le camp est bien géré et les activités sont infinies, bien qu’il faille noter qu’en dehors de la migration, ce n’est pas une destination typique pour le « gros gibier ».

Les safaris y sont exceptionnels et les guides expérimentés -des docteurs en sciences naturelles aux guides boshimans– vous aideront à comprendre et à apprécier la formation de cet étonnant désert. La saison sèche vous permettra de partir à la recherche de fossiles en quad tandis que vous pourrez apprécier le spectaculaire phénomène de la migration des gnous et des zèbres durant l’été austral.

Vous aurez également l’occasion de passer du temps avec les Bushmen Ju’Wasi, qui ont d’abord accompagné Jack dans la région. Marcher avec les Bushmen est une expérience inoubliable et une excellente façon de découvrir leur mode de vie fascinant.

Contact
[email protected]
https://www.scottdunn.com/luxury-holidays/africa/southern-africa/botswana/makgadikgadi-and-the-kalahari/jacks-camp

Nos coups de cœur à Jack’s Camp

– Marcher avec les Bushmen est une expérience inoubliable
– Explorer les grottes et découvrir l’histoire ancienne
– Les salles de bains équipées de douches intérieures et extérieures.
– Le style de déco des safaris des années 40
– Ressentir la même émotion que Jack Bousfield lorsqu’il s’est assis sous l’acacia